Les jeux qui nous ont marqués #2 : Red Dead Redemption

Il y en a très peu des jeux qui m’ont autant marqués que Red Dead Redemption. D’ailleurs je crois qu’il n’ y en a aucun autre  ! Je ne suis pas un des ces joueurs  qui sont naît avec une N64 dans la mains : mon expérience a commencé avec cette génération, consoles portables comprises. Sur tout les points, le titre de Rockstar excelle, voyons ça tout de suite, et sans spoil pour ceux qui n’y ont pas (encore) joué.

Dès l’introduction, on comprend que le jeu se veut réaliste … et il l’est, le «sang-froid» mit de côté ! Nous suivons John Marston, hors la loi repenti forcé à travailler pour le gouvernement afin de sauver sa famille, en retrouvant ses anciens coéquipiers. Le héros bénéficie d’une classe absolue, peu égalable, et du début à la fin nous passionne et nous attache : son visage balafré par des années douteuse devient familier. Le scénario est excellent, nous transportant de l’ouest des USA au Mexique, et rempli de péripéties et de personnages plus charismatiques … Enfin plus sympathiques … Non, plus atypiques les uns  les autres ! On n’oubliera pas pendant quelques temps Bonnie McFarlane ou Seth, et même si j’ai finit le jeu il y a plus d’un an, moult moments revienne à ma mémoire : l’attaque de Fort Mercer, Le train, l’arrivée au Mexique, et bien sûr la fin, inoubliable et la plus marquantes de tous les jeux que j’ai fait. La plus «classe» aussi ! De plus le jeu est servi par des graphismes somptueux, ce qui n’est pas désagréable à l’oeil …

Le gros point fort de Red Dead est aussi son univers : cohérent et réaliste, jamais le western (spaghetti) n’avait été aussi passionnant ! De plus les lieux visités durant l’aventure sont très variés, les Frères Houser (Rockstar) ne s’étant pas contentés d’un «simple» paysage désertique. Bien sûr en aurez, du désert, mais parcourir celui sur son cheval, croiser quelques inconnus puis abattre un chevreuil pour récupérer sa peau et la revendre est un plaisir indéniable ! On peut utiliser des feux de camps pour se téléporter d’un point à l’autre de la carte, mais on privilègera souvent le cheval, bien que plus long.

Et venons-en au point fort, qui sublime un jeu déjà presque parfait : sa musique. Mêlant de nombreux artistes, s’accommodant parfaitement au jeu, elle est est indispensable à certaines scènes qui n’auraient pas eues tant d’ampleur sans. L’arrivée au Mexique ou quand John en revient sont deux scènes où la musique nous fait oublier le gameplay du jeu : nous y sommes totalement à l’intérieur. Pensez à Compass ou Far away !

Je pourrai parler des heures de Red Dead. Cariboull aussi. Et vous, qu’en direz vous ?

CobbChopper, néo-nostalgique